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24 novembre 2012 6 24 /11 /novembre /2012 09:55

Qui suis-je ? Où vais-je ? D'où viens-je ?

Bien malin qui pourrait le dire, hormis les prophètes autoproclamés diffusant les oracles divins.

Soyons pragmatiques.

Nous avons les pieds sur terre, une planète flottant dans un espace incommensurable au milieu d'un nombre incalculable d'autres astres.

D'où vient cet univers ? A-t-il toujours existé ? A défaut, comment est-il né ? Et de quoi ou de qui ?

Est-il possible que les cellules composant notre corps se posent les mêmes questions ?

Peut-être que nous, êtres humains, animaux et plantes ne sommes-nous que les cellules d'un plus vaste corps ?

C'est insoluble !

Cantonnons-nous donc dans un premier temps à nous-mêmes, ce sera plus facile.

Diverses sorties corporelles, lors de morts imminentes, tendraient à démontrer que nous ne sommes pas que de chair et qu'il y aurait toujours une vie après la vie pour notre corps subtil, mais des esprits chagrins ramènent cet aperçu de la vie après la mort à un simple leurre chimique, rassurant l'être mourant et le corps subtil ne serait qu'une subtilité de notre cerveau moribond.

Toutefois, j'objecte que certains de nos contemporains réussissent à capter des images, des ressentis se passant à des milliers de kilomètres d'eux, c'est quand même étrange. Et les prémonitions ? Ceux qui en ont vécues savent que c'est réel.

Évidemment, on peut imaginer qu'il s'agit d'espèces d'ondes circulant autour de la terre et que certains d'entre nous seraient réceptifs à telle ou telle.

Bon, admettons cette explication farfelue .

Il existe malgré tout une autre étrangeté qui est la décorporation, c’est-à-dire que, par exemple, je m'évanouis et durant le temps de mon évanouissement je vois mon corps et ceux qui s'agitent autour. Est-ce cela avoir des yeux derrière la tête ?

Billevesées ! Ah non ! Car rien ne vaut sa propre expérience pour affirmer que, oui, ça peut se produire. Est-ce à dire que nous aurions un corps astral ?

Aïe ! Pourquoi pas ! J'allais écrire : chiche !

Et dans cette hypothèse, l'idée de passages initiatiques est assez plaisante : la conception, la vie intra-utérine, la naissance, la vie, la mort...et après ; la vie serait donc une préparation pour l'après, avec, en prime, un possible système de réincarnations successives visant à s'améliorer.

Bien, bien, bien.

Toutes ces conjectures restant, pour le moment, invérifiables par le commun des mortels, je propose que, dans l'immédiat, l'on s'occupe d'améliorer notre présent et, par là, notre futur, dans une solidarité humaine universelle.

Vaste et ambitieux projet d'où l'égoïsme et les intérêts personnels sont exclus.

Je vois qu'il existe des sceptiques quant à la réalisation de ce programme ; pensent-ils que le genre humain étant ce qu'il est et le monde ce que nous savons (de Marseille), la cause est perdue d'avance et qu'il vaut mieux implorer les dieux ? Peut-être aussi sont-ils plus crédules aux propositions ésotériques diverses et qu'ils voient dans nos aventures humaines des mises à l'épreuve divines ?

Alors continuons à vivre nos vies du mieux que nous pensons et nous verrons bien après...s'il y a.

C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

 

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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 14:31
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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 14:30

Il existe actuellement un sujet de société brûlant qui enflamme les passions car il touche aux fondements de notre société.

Notre environnement social a été bâti sur l'idée du couple hétérosexuel, un père, une mère et les enfants qu'ils engendrent.

Or, des personnes de même sexe qui s'aiment revendiquent le droit d'être reconnues comme ces couples hétérosexuels.

Après tout, pourquoi pas ?

Je suis un homme je vis avec un homme, je suis une femme, je vis avec une femme, je le déclare à la société qui le reconnaît et l'accepte au même titre qu'une alliance homme, femme.

Ça paraît logique ! Les choses sont dites clairement et reconnues et les droits et devoirs sont les mêmes pour tous les couples. C'est fort bien.

Quelles raisons pourraient justifier la répression des attirances naturellement ressenties et consenties entre adultes.

On ne condamne pas l'un ou l'autre pour des différences physiques telles que la couleur des cheveux, de la peau ou de la morphologie, en tous les cas on ne devrait pas, alors pourquoi le faire sur l'attirance sexuelle entre adultes.

Bref, nous devons accepter les gens tels qu'ils sont et non tels que pourrions vouloir qu'ils soient.

Bien ! Donc, le code civil va à juste titre reconnaître que chaque personne peut vivre avec qui elle veut.

Mais quid des enfants ?

Il naît de la mère et du père, c'est la nature, c'est comme ça.

L'enfant n'a rien demandé à personne et son droit est de connaître sa mère et son père et d'être chéri par les deux.

Nul ne devrait pouvoir s'y soustraire sans être fautif vis à vis de l'enfant, quelques soient les circonstances, même les plus pénibles. Cela n'empêchant pas, si la survie du père ou de la mère l'exige que la paternité ou la maternité ne soit pas exercé.

Reste alors pour les pauvres abandonnés l'espoir d'être adoptés par une famille aimante.

Si il y a adoption, il peut paraître logique que, pour l'équilibre de l'adopté, elle se fasse par un couple classique, père, mère ; autant ne pas ajouter des difficultés éventuelles, puisque, en l’occurrence, seul compte l'intérêt de l'enfant.

Donc, nous balayons le besoin de parentalité des homosexuels.

Toutefois une femme, hétéro ou homo, peut toujours enfanter et l'enfant vivra dans l'environnement de la mère, hétéro, homo ou uni-parental, c'est incontestable.

En cas de décès de la mère homo, l’orphelin doit-il aller avec son père ou avec la compagne de la mère ? Si le père sort d'une éprouvette, il est évident que l'enfant doit rester avec la compagne de la mère si toutefois sa parentalité est reconnue comme mère adoptive.

Quant à ces messieurs vivant ensemble, ils ne pourront jamais enfanter, mais ils peuvent toujours être pères ; si la mère décède, récupèrent-ils l'enfant ?

Finalement, rien n'est simple ! Et à vouloir nous substituer à la nature, nous nous compliquons la vie !

C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 14:41
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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 14:33

J'observe et je suis interloqué.

Qu'est-ce qui peut faire agir tous ceux qui se réfugient dans des théories et des pratiques contraignantes sous des prétextes les plus divers, religieux ou non.

Est-ce du masochisme ? De la victimisation ?

Et ceux qui sont aux gouvernes de ces pratiques sont-ils des sadiques ?

L'auto-destruction et la destruction relèvent peut-être du même processus, mais, quoi qu'il en soit, je n'en suis pas.

Je préfère exercer mes activités en y trouvant du plaisir, c'est beaucoup plus enthousiasmant.

La morosité est un état d'esprit tout à fait déplorable.

Je sais bien que travailler pour devoir ensuite reverser une partie de son salaire à l'Etat n'est pas naturellement exaltant, mais faut-il devenir défaitiste pour autant, car, après tout, qui punit-on en faisant la mauvaise tête ?

Soi-même ! Hé, oui !

Donc, je veux être d'humeur joyeuse, trouver des instants d'égaiement aux moments les plus improbables.

Nous passons sur terre, entre 80 et 100 ans, une poussière de temps, alors franchement autant ne pas y subir la tyrannie des despotes de tous poils.

Est-ce à dire que tout est rose ? Bien sûr que non !

Mais tout n'est pas irrémédiablement noir et ce n'est pas ce navigateur australien qui nous dira le contraire : perdu à 500 km des côtes australiennes en plein océan Pacifique, il était en perdition dans une mer déchaînée depuis 5 jours.

C'est alors que les pilotes d'un Boeing 777 d'Air Canada qui effectuait un vol reliant Sydney à Vancouver, ont été informés par les autorités australiennes de la présence d'un naufragé au large de Sydney.

Le capitaine, Andrew Robertson, et son équipage, après avoir estimé qu'ils avaient suffisamment de fuel pour s'engager dans ces recherches ont fait descendre l'avion à 1 500 mètres d'altitude pour permettre de scruter la mer à l'aide de jumelles. Ils ont prévenu les 200 passagers de ce qu'ils faisaient et, une fois dans l'aire de recherche, leur ont demandé de bien vouloir regarder par les hublots et de les avertir dès qu'ils apercevraient quelque chose.

L'équipage a finalement repéré le naufragé à 500 km des côtes et a aussitôt prévenu les autorités maritimes australiennes. Le navigateur, Glenn Ey, qui a pu être ensuite secouru par la police maritime a expliqué à son retour à Sydney : "Une vague monstrueuse a surgi, a retourné le bateau. J'ai été projeté sur le toit du bateau, qui commençait à être inondé. J'étais à genoux dans l'eau. J'ai cru que mon heure était venue".

Après ça, je suppose qu'il va relativiser ses difficultés terrestres.

Et l'on peut aussi constater qu'il ne faut jamais désespérer du genre humain.

C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

 

 

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26 août 2012 7 26 /08 /août /2012 10:07
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26 août 2012 7 26 /08 /août /2012 10:07
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18 juin 2012 1 18 /06 /juin /2012 19:27

 

Tout est dit, c'est fini, n, i, ni 

Il faut avouer que ce marathon électoral m'a épuisé.

Pourtant, je ne fus qu'un simple spectateur et un votant...pour qui ? Pour qui ?

Pour qui et pourquoi, je ne le dirai pas, car, dans tous les cas, ce serait mal compris par une partie de la population.

Tout ce que je puis dire, c'est que dans tous les camps il y a des bonnes et des mauvaises intentions et c'est à nous, les électeurs, de nous débrouiller avec ça, avec les vérités, avec les mensonges, avec le racolage ; ce n'est pas facile !

Toutefois, j'admire la foi et la persévérance de tous les prétendants au trône, quelle que soit leur couleur politique.

D'ailleurs, si je critique, parfois un peu facilement, les décisions de ceux qui détiennent le pouvoir, ça ne veut pas dire que je crois que je ferais mieux à leur place, mais de l'extérieur c'est toujours plus facile.

Ce qui n'empêche pas de m'étonner devant les convictions affirmées, les condamnations péremptoires, les lois iniques ou les jugements religieux et les règles abusives, de m'étonner et de manifester mon désaccord.

Mais, restons réalistes, nous ne sommes, ici bas, que de passage et il me semble préférable de ne pas accumuler trop d'éléments négatifs à emporter de l'autre côté.

J'en vois qui s'étonnent : comment ?! Vous croyez en un au-delà, vous qui ne croyez ni en diable, ni en Dieu !

Je ne crois pas, n'est pas la bonne expression, il serait plus juste de dire que je ne sais que croire.

Je parle plus facilement au vent qu'à Dieu et pourtant le vent transporte le souffle du ciel.

Dans le doute, je m'occupe de ce que je vis aujourd'hui, dans ma misérable peau d'humain et je sens bien, oui, que ça me fait plus de bien d'être gentil que méchant.

Ce qui me fait dire que si la méchanceté est un signe d'égoïsme, la gentillesse aussi.

La compassion, l'amour, la compréhension, bref tous ces sentiments qui fendillent notre carapace de défense, et le calcul, la manipulation, la convoitise, créateurs de cette carapace, n’obéiraient finalement qu'à un même objectif, notre bien-être immédiat.

L'un est le confort matériel et l'autre le confort de...de...de quoi ? De l'âme ? Du moi profond ? Du cœur ? Pourquoi pas de l'estomac, pendant que nous y sommes ? De la paix intérieure ? Mais de quel intérieur s'agit-il ? De nos intestins ?

Pourquoi l'amour ?!!

Bref ! Deux choses sont sûres, la première est que notre vie sur terre est éphémère et la deuxième est que nous avons des sentiments.

La vie nous savons ce que c'est, nous sommes vivants ou morts et quand nous sommes morts, c'est que nous ne sommes plus en vie, c'est assez simple.

Mais les sentiments, qu'est-ce ?

Je dirais un ressenti, par exemple, je déteste et j'ai envie de frapper, j'aime et j'ai envie d'embrasser ; répulsion, attirance ; nous connaissons les conséquences et même si on explique les causes par des raisons chimiques ou physiques ou des réactions ataviques, ça reste néanmoins mystérieux.

Reste la théorie ésotérique supposant que nous serions une entité extra-terrestre vivant dans notre corps pour des raisons transcendantales que nous ne devons en aucun cas contrecarrer.

Cette entité, logée dans notre subconscient (c'est où ça?) posséderait la connaissance du bien et du mal et nous guiderait, une sorte d'ange gardien ou de diablotin, sauf que c'est nous.

Il faut reconnaître que cette idée nébuleuse est assez plaisante

Et c'est peut-être cette entité qui n'est autre que moi, qui me fait penser que mon bagage d'actions positives me serait moins lourd que mes vilénies terrestres si, après la mort, mon moi éthéré devait s'envoler.

C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 10:12

 

Peut-être vous attendiez-vous à ce que je vous entretienne d'élections présidentielles ?

Mais que pourrais-je en dire, qui ne le fut déjà.

Non, j'ai mieux que ce sujet désuet.

Il y a peu de temps, en parlant de choses et d'autres avec l'un de mes fils, nous abordâmes simultanément deux sujets : la religion et le chômage et par voie d'extension la crise financière.

Bon, non, ça ne fait pas trois sujets, car la crise financière est pour partie due au chômage et inversement.

Tout d'abord, il s'agissait de trouver l'origine de tout, je veux dire de tout ce désordre.

Au commencement, l'homme a eu recours à divers petits dieux pour que ceux-ci règlent pour lui ses petits problèmes du quotidien et aussi à d'autres dieux, plus importants, pour les gros problèmes, dont le dieu soleil qui était quand même l'un des plus costauds. Suivant les régions du monde, les noms des dieux étaient différents, mais leurs fonctions étaient, grosso modo, les mêmes, avec un niveau de cruauté variable.

Bref, tout allait bien, il existait des industries autour de chaque divinité et les hommes avaient tous du travail.

Mais, un jour, un illuminé, un farfelu chevelu, a décrété que cela suffisait, que ces dieux n'étaient que des fétiches, des idoles dérisoires et qu'il n'existait en réalité qu'un Dieu tout puissant.

Après un instant de surprise, les hommes balayèrent le passé d'un revers négligent de la main pour adopter cette idée novatrice, car, après tout, pourquoi se compliquer la vie avec une tripotée de dieux à adorer alors que l'on peut tous les remplacer par un seul.

Oui, sauf qu'avant, nous pouvions, en cas de désaccord avec la décision d'un dieu, faire appel à un autre, en froid avec le premier et, hop ! Le tour était joué ; maintenant c'est devenu beaucoup plus difficile, mais ce n'est pas le plus grave, le gros, gros problème, c'est que le travail engendré par la multitude des dieux n'a rien à voir avec celui donné par un seul.

Voilà donc la première cause du chômage : Dieu unique, monnaie unique, c'est la chienlit !

Ce Dieu unique qui prône l'amour, est aussi un faux-cul, en effet, sous prétexte d'une place dans un hypothétique royaume des cieux, il pousse les hommes à s’entre-tuer ; vous me direz qu'une bonne guerre peut apporter du travail, d'accord, peut-être, mais nous les hommes, mis à part quelques demeurés, nous n'aimons pas contempler nos pareils en pièces détachées, nous préférons les taquiner en entier et bien vivants.

Bref ! C'est ainsi démontré, un dieu qui cumule tous les pouvoirs c'est mauvais pour le peuple.

Il faut faire tomber les casquettes posées sur une même tête, du reste, c'est clownesque, ça ne fait pas sérieux.

C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 17:01

Outre les accidents de la vie, il y a aussi les déments assassins, mais je n'en parlerais pas, c'est toujours trop triste ; je n'ignore pas les faits, mais ils sont trop « lourds » pour que je les évoque de façon superficielle dans cette rubrique futile.

 

Toutefois, je puis dire qu'étant donné nos origines très mélangées, à tous, nous pourrions toujours être tenus pour responsables des actions passées ou à venir d'un peuple auquel l'une de nos composantes pourrait être reliée, c'est vraiment crétin.

Bon, enfin, les religions et les gens bornés n'ont jamais apporté quoi que ce soit de positif.

Faites ci, ne faites pas ça, ne m'induisez pas en tentation, etc.

Je ne vais pas me mettre à discuter de la vie et de la mort, pourquoi vit-on, pourquoi meurt-on ? Où étais-je avant, où serais-je après ?

À part toutes les supputations ou les pouvoirs extraterrestres donnés par les hommes à des dieux hypothétiques, personne ne sait rien.

Savons-nous déjà où nous sommes aujourd'hui ?

Où nous sommes, peu-être, mais où nous en sommes, ça, non, nous ne le savons pas, politiquement parlant, je veux dire.

Entre celles et ceux qui font des promesses qui manifestement ne pourraient être tenues et celui qui promet des choses qu'il aurait déjà pu faire, mais qu'il n'a pas faites, on ne sait pas pourquoi , ni pourquoi il les ferait après puisqu'il ne les a pas faites avant, quel sera le bon choix?

Tout cela ne m'inspire guère.

Pourtant c'est le printemps, le temps du renouveau, le temps de la jeunesse perpétuelle, le temps des chansons gaies et des danses folles, le temps des projets les plus enthousiasmants, bref le temps de tous les espoirs.

Hé bien, parmi tous nos candidats (sans oublier les candidates, je parle en neutre, ni féminin, ni masculin, ne l'oublions pas), aucun n'a fait briller en moi une étincelle de joie.

Quel dommage !

Vous me direz qu' une élection présidentielle est chose grave, c'est graaaavvve.

Bref, parmi ces « tout est grave » en existe-t-il un qui donne envie de voter pour lui ; soyons juste, chacun, peut, parfois, avoir une parole ou un geste qui retient un peu l'attention, qui crée un moment où l'on pense ;  « ah, oui, il (elle) a raison », mais ça ne dure pas.

Conclusion, il faudrait, pour sortir un être nouveau, malaxer ensemble tous ces prétendants. Qu'en sortirait-il ? Un Frankenstein ?

Bah, tant pis, restons comme ça, ce n'est pas terrible, mais déjà suffisamment dangereux, tant de pouvoirs en si peu de mains, c'est graaaavvve.

Encore un mois, agitons le pot aux candidats et laissons décanter, peut-être que le 22 avril nous y verrons plus clair.

C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

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